• Mes convictions en faveur d'une véritable Europe m'incitait à Voter Oui ! Je viens d'entendre Nicolas SARKOZY  qui avec sa superbe habituelle veut convaincre les Français  un par un de voter oui !  C'est raté , il m'a convaincu de voter

    NON ! UN NON FRANC ET MASSIF

    et aprés avoir entendu ses propositions pour lutter contre " le chomage " c'est un

    TRES GRAND NON


    votre commentaire
  • L'intéressement n'est pas la solution !

    L'Intéressement n'est pas la solution à la défense du Pouvoir d'achat

    Nos ministres ne connaissent que les grandes entreprises ! Faut-il encore que les entreprises aient du bénéfice distribuable pour le calcul de l'intéressement .

    En tout état de cause , c'est de la valeur ajoutée qu'il faut distribuer et c'est uniquement par l'augmentation des salaires .
    Enfin quid des 35 heures , il faut annuler la réforme Raffarin !
    Ne tombons pas dans le piège , Ce n'est par la ruse que nous serons démobilisés !

    votre commentaire
  • JEAN PIERRE RAFFARIN

    LE PREMIER SINISTRE DE LA FRANCE

    VOUS PARLE

    CLIQUEZ ICI


    votre commentaire
  • Dans l'unité , maintenons la pression

    En espérant que les syndicats ne tomberont pas dans le panneau!

    IL N'Y A QU'UN SEUL MOYEN DE FAIRE RETOMBER LA PRESSION !


    C'est de renoncer à la réforme des 35 heures et de négocier des augmentations salariales qui ne soient pas ridicules !

    medium_10_mars.2.jpg



    Cédera ? Cédera pas ? Vendredi soir, Jean-Pierre Raffarin n'avait toujours pas décidé de lâcher du lest pour permettre au ministre de la Fonction publique, Renaud Dutreil, de renouer le dialogue avec les syndicats. La veille, au démarrage de la manifestation parisienne (Libération de vendredi), un des principaux leaders

    syndicaux de la fonction publique expliquait clairement la règle du jeu : «Avec 0,8 %, on entre en négociation. Cela permet de garantir le pouvoir d'achat en 2005, et on peut commencer à discuter du reste.» Le coût de ce ticket d'entrée ne serait pas exorbitant : 300 millions d'euros en 2005, 600 millions en année pleine. C'est quinze fois moins que ce que la bonne surprise de la croissance à 2,3 % en 2004 a rapporté en «cagnotte fiscale».



    votre commentaire
  • Malgré le succés , François COPPE s'obstine

    C'est vraiment une habitude des membres de ce gouvernement : le mepris et l'arrogance comme Fillon et Coppé le démontrent !

    Le 10 mars , c'est un succés! Vendredi 11 Mars 2005


    Large mobilisation en France pour la défense des salaires et des 35 heures


    medium_10_mars.jpg



    La journée de grèves et de manifestations pour la défense des salaires et des 35 heures a largement mobilisé jeudi, avec une déferlante de centaines de milliers de manifestants dans toute la France.Au total jeudi, 150 manifestations ont réuni 570.000 personnes selon la police, 1.040.000 selon les syndicats, selon un décompte effectué ville par ville par l'AFP: le double des manifestations de la précédente journée d'action du 5 février, qui avait rassemblé entre 284.000 à 517.000 personnes selon les sources.

    Contrairement au 5 février, la revendication salariale était au centre de cette journée à l'appel de la CGT, la CFDT, FO, l'Unsa, Solidaires et Sud, éclipsant un peu les 35 heures.

    Malgré la démonstration de force des syndicats, le ministre du Budget, Jean-François Copé, a rejeté jeudi soir l'idée d'une conférence sur les salaires. Il a aussi écarté implicitement toute revalorisation du traitement des fonctionnaires, en mettant en avant "la situation des finances publiques (qui) exige la plus grande vigilance".

    Il a toutefois ensuite tempéré ses propos, précisant, à propos d'une éventuelle revalorisation du traitement des fonctionnaires, que les "marges de manoeuvres sont réduites".

    Le ministre de la Fonction publique, Renaud Dutreil avait affirmé quelques heures plus tôt être "à l'écoute des inquiétudes" et devait proposer aux syndicats de fonctionnaires une réunion "avant fin mars".

    Devant ces déclarations "contradictoires", Bernard Thibault a déclaré jeudi soir attendre "une réaction officielle" du Premier ministre et du "sonnant et trébuchant pour le public et le privé".

    Le leader de la CGT s'est félicité de "la démonstration de force" des salariés, tout comme Jean-Claude Mailly (FO) qui a parlé d'une journée d'action "réussie", tandis que la CFTC évoquait une "mobilisation exceptionnelle".

    A Paris, quelque 35.000 manifestants selon la police (150.000 selon les syndicats) ont défilé derrière une banderole "augmentation des salaires, diminution du temps de travail, contre les déréglementations et le chômage", qui vient d'atteindre le seuil de 10%.

    Dans les rangs du cortège parisien, Armelle Doroy, fonctionnaire dans une université, soulignait: "un an de salaire me permet tout juste de payer un mois de loyer de l'appartement de M. Gaymard".

    A Marseille, les organisateurs ont annoncé 100.000 participants (19.000 selon la police). Ils étaient 35.000 à 50.000 -selon les sources- à Bordeaux, 22.000 à 40.000 à Toulouse, 15 à 30.000 à Nantes, 13 à 30.000 à Lyon.

    Plusieurs leaders du parti socialiste ont participé aux cortèges, comme Dominique Strauss-Kahn à Vichy, Laurent Fabius à Rouen, Jean-Luc Mélenchon et Henri Emmanuelli à Paris.






    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires