• AVEC 69% DES FRANCAIS DEFENDONS LE POUVOIR D'ACHAT ET LES 35 HEURES

    CONTRE LA POLITIQUE SOCIALE DE RAFFARIN

    10 mars : 69 % des Français
    approuvent

    Défendons les 35 heures pour un véritable partage du travail avec embauche pour stopper la progession du chomage !

    Selon un sondage CSA, la journée d'action public-privé pour l'emploi, les salaires et les 35h suscite le soutien ou la sympathie de 69% des Français.

     Des manifestants dans les rues de Toulouse en février (AP)
    Des manifestants dans les rues de Toulouse en février (AP)
     
    L a journée d'action public-privé pour défendre l'emploi, les salaires et les 35H suscite le soutien ou la sympathie de 69% des Français, selon un sondage CSA paru dans L'Humanité de lundi 7 mars.
    Selon cette enquête, 19% des personnes interrogées sont opposées ou hostiles au mouvement organisé à l'appel des syndicats CGT, FO, la CFDT, la CFTC, l'Unsa, et Solidaires, 10% y sont indifférents et 2% ne se prononcent pas.
    La mobilisation sociale lancée à la mi-janvier connaîtra cette semaine un nouveau temps fort avec des manifestations de lycéens, de chercheurs et surtout, jeudi, une journée nationale interprofessionnelle de grèves et d'actions alliant les secteurs public et privé pour la défense des 35 heures, des salaires, de l'emploi et du code du travail.






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  • TOUS DANS LA LUTTE LE 10 MARS

    Contre la politique sociale de raffarin , défendons les 35 heures et le pouvoir d'achat !
    Grèves et manifestations mêlant fonctionnaires et salariés du privé vont ponctuer jeudi une journée revendicative qui devrait fortement perturber les transports publics, symptôme d'un climat social tendu, à trois mois du référendum sur la constitution européenne.
    Après les manifestations de la fonction publique fin janvier et celles mêlant public et privé le 5 février, les syndicats -- CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa et Solidaires -- appellent les salariés à clamer leur mécontentement face à la stagnation de leur pouvoir d'achat et des salaires, et pour défendre l'emploi et les 35 heures. Des débrayages dans les entreprises privées sont annoncés.

    SOYONS SOLIDAIRES DEFENDONS LES 35 HEURES ET LE POUVOIR D'ACHAT !


    Seule la CFE-CGC (cadres), que la réforme des 35 heures votée à l'Assemblée a en partie satisfaite, ne descendra pas dans la rue. Son président Jean-Luc Cazettes juge cependant "énorme" la "grogne" des salariés sur le pouvoir d'achat et les salaires.
    En outre les lycéens ne désarment toujours pas, après deux mois de mobilisation contre la loi Fillon sur l'Ecole, et grossiront les rangs des manifestations jeudi, alors que les chercheurs battaient le pavé dès mercredi.
    Une quarantaine de manifestations sont déjà prévues dans toute la France; à Paris un cortège mené par les leaders syndicaux, ira de la place d'Italie à la place de la Nation.
    Cet itinéraire sud-est a été scrupuleusement choisi pour ne pas croiser le chemin de la commission du Comité international olympique (CIO), venue jauger les atouts des sites olympiques du nord et de l'ouest de la capitale.
    Une polémique avait éclaté à ce sujet, certains s'inquiétant de voir ternie l'image de la ville, en concurrence avec Londres, Madrid, New York et Moscou pour accueillir les JO en 2012.
    En revanche, la journée s'annonce difficile pour les usagers des transports publics, avec un service très perturbé à la SNCF, et à la RATP. Le trafic aérien lui-même sera touché, les contrôleurs aériens se mobilisant eux aussi.
    Dès 20h00 ce mercredi et jusqu'au vendredi à 08H00, seul un TGV sur deux et moins d'un TER sur trois devraient rouler, mais le service sera "quasi-normal" pour les Eurostar et Thalys, selon la SNCF. En banlieue parisienne, seul un Transilien sur quatre circulera, et de "fortes perturbations" sont attendues dans le métro et le RER.
    Le gouvernement, dont les syndicats ont dénoncé le "mépris", est "évidemment très attentif" à la mobilisation de jeudi, selon les termes de son porte-parole, Jean-François Copé.
    D'autant que la crispation du climat social pourrait se traduire par un vote sanction au référendum sur le traité constitutionnel européen, le 29 mai.
    Fragilisé par la démission du ministre de l'Economie Hervé Gaymard, après l'affaire de son appartement de fonction, le gouvernement a tenté l'apaisement mardi.

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  • TOUS CONTRE FILLON ! CONTRE CETTE LOI ELITISTE!

    MONSIEUR FILLON , REGARDEZ ET ESSAYER DE COMPRENRE LES ASPIRATIONS DE LA JEUNESSE !

    Sa réponse d'hier au profond mouvement des lycéens est scandaleuse ! Qui est concerné par l'éducation , si ce n'est les lycéVotre ens et les enseignants !
    ce que la presse en dit .....

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    La forte mobilisation des lycéens, qui, selon la police, étaient encore plus de 165 000 à manifester, mardi 8 mars, contre la loi Fillon et la politique gouvernementale sur l'école, n'a pas entamé la détermination du ministre de l'éducation nationale à imposer sa réforme. Le 10 février, les lycéens étaient 100 000 à défiler dans les rues.

    C'était également une journée "test" d'une mobilisation qui dure depuis près de deux mois, pour réclamer le retrait d'une loi votée le 2 mars par l'Assemblée nationale. Le Sénat l'examine à partir du 15 mars et devrait l'adopter. Au terme de cette journée, le ministre de l'éducation nationale, François Fillon, est resté très ferme, jugeant sur France 2 qu'"une fois le Parlement saisi, il n'y a plus de variation possible".

    Il a également estimé que les manifestants "ne représentent pas l'ensemble des lycéens" ni "l'ensemble de l'opinion publique". Il y a près de deux millions de lycéens en France.

    Toutefois, la colère des lycéens persiste. "Nous n'appelons pas à la démission du ministre mais au retrait de sa réforme, sachant que s'il la retire, une des conséquences sera sa démission", a déclaré, dans la manifestation parisienne, Constance Blanchard, la présidente de l'Union nationale lycéenne (UNL) coorganisatrice, avec la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), de la journée d'action.

    Des manifestations ont eu lieu dans quelque 150 villes, réunissant parfois une centaine de jeunes (comme à Digoin, Charolles, Le Creusot, Gray, Lure, Luxeuil-les-Bains, Saint-Avold...), mais souvent plusieurs milliers. "La mobilisation peut durer. Un rapport de force s'instaure et continuera tant que les lycéens sont dans la rue. M. Fillon a intérêt à nous écouter", a ajouté Coralie Caron, la secrétaire générale de la FIDL, qui a chiffré la participation globale mardi à "plus de 200 000".

    "FILLON NUIT GRAVEMENT À L'ÉDUCATION"

    La manifestation la plus importante s'est déroulée à Toulouse avec 11 000 participants, selon la police (20 000, selon les organisateurs), où un responsable de la FIDL a rendu hommage à la recteure d'académie, Nicole Belloubet-Frier, qui a démissionné, la jugeant "très courageuse" d'avoir "voulu marquer son désaccord avec cette politique désastreuse".



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  • Jean François COPPE Ma situation est claire ........

    Sa situation est si claire que sans l'affaire de medium_coppe_jeanfrancois_2_.jpg son ministre , il aurait habité pendant trois ans , un appartement de plus de 220 m2 à 5500 euros mensuel au frais de l'état pendant que l'appartement dont il est propriétaire serait occupé par son chef de cabinet .

    Monsieur Coppé , vous qui avez du mépris pour vos adversaires et qui avec un ton condescendant renvoyez sur la touche vos contradicteurs , soyez plus humble et modeste pour que l'on puisse vous croire !

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  • La bonne gestion de Nicolas SARKOZY

    Il devait gérer la France en bon père de famille

    SARKOZY NE SERAIT IL PAS ZORO? le déficit n'a jamais été aussi élevé !!

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    La gestion de Raffarin , Sarkozy bat tous les records..............de bénéfices pour les grosses entreprises!
    c'est un cadeau à Ernest le baron pour son départ du medefmedium_ernest.jpg
    Thierry Breton doit affronter, à peine nommé, les mauvaises nouvelles. Mardi 1er mars, l'Insee a communiqué à la Commission européenne ses dernières estimations de la situation des finances publiques françaises. Et il s'avère qu'elle est plus dégradée que prévu.

    Le déficit public, d'abord, a certes reculé par rapport à 2003 - il a représenté 3,7 % du produit intérieur brut (PIB) en 2004 contre 4,2 % un an plus tôt - mais moins que ne le prévoyait le gouvernement qui misait sur 3,6 %. Et encore, ce chiffre pourrait être revu à la hausse dans la mesure où il intègre une soulte de 1,6 milliard d'euros qu'ont versé EDF et la Cogema au CEA au titre de l'obligation de démantèlement du site nucléaire de Marcoule."Le traitement de cette soulte est en cours d'examen avec Eurostat", explique l'Insee. Si l'institut statistique européen le refusait, les déficits publics monteraient à 3,8 % du PIB.



    Bercy ne semble pas s'inquiéter de ces dérapages. Dans un communiqué, publié mardi soir, le ministère se félicite de la "nette amélioration de la situation de nos comptes publics". Avant d'ajouter : "pour 2005, l'objectif du gouvernement d'un déficit public à 2,9 points de PIB est confirmé, grâce notamment à la stabilisation des dépenses de l'Etat et à la maîtrise des dépenses de santé permise par la mise en œuvre de la réforme de l'assurance- maladie".

    La France s'est engagée à ce que ses déficits publics repassent, dès 2005, sous la barre des 3 %, inscrite dans le traité de Maastricht. Le transfert, au 1er janvier, d'une partie des retraites des agents EDF-GDF aux régimes de droit commun lui sera, à cet égard, indispensable. En contrepartie, EDF et GDF verseront une soulte de 7,7 milliards d'euros, qui améliorera les comptes publics de 0,7 point de PIB.

    17 000 EUROS PAR FRANÇAIS

    Bercy ne s'émeut pas d'un autre phénomène que mettent en valeur les chiffres transmis par l'Insee à Bruxelles : le dérapage de la dette, bien au-delà de la barre des 60 % du PIB inscrite dans le traité de Maastricht. La dette est montée de 63,9 % à 65,6 % entre 2003 et 2004. Elle représente aujourd'hui 17 000 euros par Français.

    Ce point inquiète tout particulièrement la Banque de France, qui redoute l'effet boule de neige qu'aurait sur les finances françaises une hausse des taux d'intérêt, qui sont à un niveau historiquement bas


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