• DOUSTE BLASY N'EST PAS

    ROBIN DES BOIS !

    L'ASSURANCE MALADIE ET DOUSTE BLAZY ?

    medium_robin.jpg
    DOUSTE BLAZY N'EST PAS ROBIN DES BOIS !

    aprés le désaste financier du principal centre anticancéreux français , que dire de l'assurance maladie

    Réforme de l'assurance-maladie : derrière la « positive attitude », la potion est amère

    Le ministre de la Santé se félicite de la « réussite » de sa réforme de l'assurance-maladie.

    Le sauvetage de notre système de santé serait en route !

    Or, l'annonce d'une réduction du déficit se situe dans le même temps que la diffusion d'un « message d'alerte » de l'ACOSS concernant la dégradation des comptes de l'assurance maladie.

    L'hôpital public est plus que jamais au bord de la rupture du fait de l'insuffisance de crédit.
    La grève massive des urgentistes a montré à son tour l'ampleur de la crise du système de santé.

    Les assurés sociaux, vont subir les effets dévastateurs du droit aux dépassements d'honoraires hors parcours de soins, prévus dans la convention médicale.

    L'explosion des tarifs des complémentaires santé, la mise en place de 1 euro, l'augmentation des tarifs médicaux, du forfait hospitalier, de la CSG, du CRDS, vont réduire le pouvoir d'achat des salariés actifs, retraités, chômeurs et de leurs familles.

    L'engagement de réduire de manière arbitraire les arrêts de travail ne tient aucun compte des réalités vécues par les salariés.


    ENCORE UNE REFORME QUI EST UNE REGRESSION SOCIALE !

     


    1 commentaire
  • SOMMES NOUS DES CRETINS?

    à prendre au second degré !

    SOMMES NOUS DES CRETINS?


    L'EUROPE DES CRETINS
    ( à prendre au second degré, évidemment :-)
    Les gens qui vont voter Non à la constitution européenne sont des crétins, des abrutis, des imbéciles, des incultes. Petit pouvoir d'achat, petit cerveau, petite pensée, petits sentiments. Pas de diplômes, pas de livres chez eux, pas de culture, pas d'intelligence. Ils habitent en campagne, en province. Des paysans, des pécores, des péquenots, des ploucs. Ils n'ont pas le sens de l'Histoire, ne savent pas à quoi ressemble un grand projet politique. Ils ignorent le grand souffle du Progrès. Ils crèvent de peur.

    Jadis, ces mêmes débiles ont voté non à Maastricht ignorant que le oui allait apporter le pouvoir d'achat, la fin du chômage, le plein emploi, la croissance, le progrès, la tolérance entre les peuples, la fraternité, la disparition du racisme et de la xénophobie, l'abolition de toutes les contradictions et de toute la négativité de nos civilisations post-modernes, donc capitalistes, version libérale.

    L'électeur du Non est populiste, démagogue, extrémiste, mécontent, réactif. C'est le prototype de l'homme du ressentiment. Sa voix se mêle d'ailleurs à tous les fascistes, gauchistes, alter mondialistes et autres partisans vaguement vichystes de la France moisie, cette vieille lune dépassée à l'heure de la mondialisation heureuse. Disons le tout net : un souverainiste est un chien.

    En revanche, l'électeur du Oui est génial, lucide, intelligent. Gros carnet de chèque, immense encéphale, gigantesque vision du monde, hypertrophie du sentiment généreux. Diplômé du supérieur, heureux possesseur d'une bibliothèque de Pléiades flambant neufs, doté d'un savoir sans bornes et d'une sagacité inouïe, il est propriétaire en ville, urbain convaincu, parisien si possible. Il a le sens de l'Histoire, d'ailleurs il a installé son fauteuil dans son sens et ne manque aucune des manies de son siècle. Le Progrès, il connaît. La Peur ? Il ignore. Le debordien Sollers, le sartrien BHL et le kantien Luc Ferry vous le diront.

    Bien sûr le Ouiste a voté oui à Maastricht et constaté que, comme prévu, les salaires s'en sont trouvé augmentés, le chômage diminué et fortifiée l'amitié entre les communautés. Le votant du Oui est démocrate, modéré, heureux, bien dans sa peau, équilibré, analysé de longue date. Sa voix se mêle d'ailleurs à des gens qui, comme lui, exècrent les excès : le démocrate chrétien libéral, le chiraquien de conviction, le socialiste mitterrandien, le patron humaniste, l'écologiste mondain. Dur Dur de ne pas être Ouiste? Citoyens, réfléchissez avant de commettre l'irréparable !

    Michel ONFRAY, philosophe.


    COMME IL EST DIT EN INTRODUCTION C'EST DU SECOND DEGRE !!!!!!!

     


    11 commentaires
  • LE PLAN CANCER? du Vent!

    CHIRAC ET LE PLAN CANCER ?

    Le premier centre anticancéreux de France est au bord du gouffre financier !

    Le Plan cancer de Chirac et Douste-Blazy était-il simplement un coup de communication
    comme tout le reste ......


    Comment l'état peut-il laisser sombrer un des fleurons français de la Cancérologie?
    Il faudrait que le Minsitre de la santé s'explique...... il ne suffit pas de faire des visites accompagnées de caméras de télévision pour s'attaquer aux véritables problèmes !



    1 commentaire
  • C'EST NON !

    NON! NON!

    NON A LA CONSTITUTION,NON AU LIBERALISME,NON A SARKOZY, NON A CHIRAC , NON A RAFFARIN ET NON AUX AUTRES !

    medium_ds_sans_titre.jpg

     


    votre commentaire
  • Les réactions de la Presse

    C'est un grand NON !

    medium_chirac.jpgLa grand'messe cathodique de Jacques Chirac laisse sceptique

    Les réactions de la presse aujourd'hui
    PARIS - Destinée à contrer l'ascension du "non", l'entrée de Jacques Chirac dans la campagne référendaire semble ne pas avoir atteint l'effet escompté tant le scepticisme domine dans la presse et la classe politique.

    "Occasion manquée", "Péril jeune", "Chirac rame", "Poker électoral": les quotidiens critiquent sans détour la prestation télévisée du chef de l'Etat, qui avait choisi d'inaugurer une formule inédite, un débat en direct avec 83 jeunes en "prime-time" sur TF1.

    L'émission, qui a duré plus de deux heures, a été regardée par quelque 7,3 millions de téléspectateurs, ce qui la place en tête des audiences, a indiqué vendredi la chaîne privée.

    La mise en scène, vantée par avance comme un "exercice moderne" de démocratie par l'entourage présidentiel, s'est avérée souvent confuse et peu en phase avec la volonté affichée du chef de l'Etat d'"expliquer" la Constitution européenne.

    L'échange a tenu parfois du dialogue de sourds, entre des jeunes préoccupés par la situation économique et sociale intérieure et un président désireux d'exalter la construction européenne.

    "Même si le chef de l'Etat a réussi, tel un diesel, à prendre au fil des minutes un peu de vitesse, le téléspectateur aura eu droit à un show confus, par moments populiste et, au total, c'est bien triste, plutôt contre-productif", juge Henri Vernet dans Le Parisien.

    Pour Anne Fulda, du Figaro, "le chef de l'Etat a participé à une émission singulière, qui ressemblait plutôt aux 'Guignols de l'Europe'".

    L'Humanité ironise pour sa part sur le "pensionnat de l'Elysée" et le "oui man show" du chef de l'Etat". Pour Pascal Aubert (La Tribune), "toute attente d'un 'effet tsunami' à la suite du 'show élyséen est illusoire".

    Il faudra attendre les prochains sondages pour juger des effets de l'intervention de Jacques Chirac sur les intentions de vote au référendum, mais la tiédeur des commentaires du camp du "oui" n'augurait pas vendredi d'un renversement de tendance significatif.

    "ABRACADABRANTESQUE"

    Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, estime dans une interview au Dauphiné libéré que Jacques Chirac a donné "à la fois du souffle et du coeur au 'oui'", soulignant que les sondages "ne sont pas des pronostics". Quatorze enquêtes d'opinion donnent pour l'heure le "non" gagnant le 29 mai.

    L'UMP a salué le "langage de vérité" de Jacques Chirac et le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a estimé que le président de la République avait donné "un nouvel élan à la campagne du 'oui'".

    Au sein du gouvernement, Philippe Douste-Blazy, ministre de la Santé, a estimé que Jacques Chirac avait défendu "un oui de conviction", non "un oui d'arrogance". François Fillon, ministre de l'Education, a trouvé le président "convaincant", mais il a reconnu que "sans doute d'autres émissions" seraient nécessaires pour favoriser "un exposé plus pédagogique". Renaud Dutreil (Fonction publique) a vu jeudi soir le "oui du coeur" se joindre au "oui de la raison".

    Ancien conseiller ès-sondages auprès de Jacques Chirac, le secrétaire d'Etat à l'Aménagement du territoire, Frédéric de Saint-Sernin, déclare pour sa part que le président "a mis les Français face à leur responsabilité de citoyens".

    A gauche, les défenseurs du "oui" ne sont pas légion à commenter l'intervention de Jacques Chirac. L'ancien ministre socialiste Daniel Vaillant considère que le chef de l'Etat "a fait son travail" et qu'"on verra dans l'avenir s'il a été convaincant". Pierre Moscovici concède qu'"il reste beaucoup de travail à faire". Le Parti radical juge que "l'objectif est atteint" et que ce débat cathodique "marque la reconquête du 'oui'".

    Les zélateurs du "non" ont en revanche trouvé dans l'émission de jeudi soir matière à relancer leur campagne.

    Laurent Fabius a trouvé Jacques Chirac "peu convaincant" et le député PS des Landes Henri Emmanuelli l'a accusé de "ne reculer devant aucun mensonge". Pour le Parti communiste, "il a insulté les millions de Françaises et de Français qui, arguments à l'esprit, s'apprêtent à voter non".

    A droite, les souverainistes Philippe de Villiers et Charles Pasqua ont la dent dure pour le chef de l'Etat. Le président du Mouvement la France (MPF) a fustigé "un verbiage convenu" pétri "d'injonctions et de mensonges". Le président du Rassemblement pour la France (RPF) affirme de son côté que Jacques Chirac a "rapetissé" son pays.

    Nicolas Dupont-Aignan, chef de file des souverainistes de l'UMP, a raillé "la lecture abracadabrantesque" de la Constitution européenne faite par Jacques Chirac.

    Pour moi c'est toujours un grand non ! 

     



    votre commentaire