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    Breton: "Touche pas à mon jour férié, est-ce que c'est digne?"


    Oui c'est être digne de lutter pour une plus grande justice !
     
    Peut-on parler de dignité à des travailleurs quand on regarde
    votre ancienne rémunération à France Télécom !
    La Solidarité envers nos aînés passe par l'impôt ! Il y aurait du courage à recourir à l'impôt  et à renoncer à cette fumisterie inventée par le révérend Raffarin!
    La solution choisie ne repose que sur les salariés  et c'est bien votre gouvernement qui a fortement réduit les tranches de l'IRPP les plus élevées et réaménagé l'impôt sur la Fortune !
    Monsieur Breton , vos propos ne sont pas dignes envers les salariés qui triment pour joindre les deux bouts !
    Il y a une grande dignité à lutter collectivement pour une plus grande justice et une véritable solidarité !
    Je vous en prie , Monsieur Breton , restez digne , si vous voulez être un homme politique crédible et non outrancier comme beaucoup de chefs d'entreprise !


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  • La seule réponse de Fillon à l'action des lycéens : LES CRS

    Les manifestations et les actions des Lycéens représentent -elles un véritable danger pour l'Ordre public ?

    OUI SELON FILLON
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    Les CRS évacuent des manifestants dans deux lycées de Lille

    04/04/2005 - 15h24

    LILLE - La police a mis fin lundi matin à l'occupation de deux établissements de Lille par des lycéens protestant contre la loi Fillon sur l'école.

    Les quelques dizaines de jeunes qui campaient dans les lycées Faidherbe et Montebello ont été priés par les forces de l'ordre de plier leurs tentes et de quitter les lieux, ce qu'ils ont fait sans incident.

    Le lycée Montebello était occupé depuis mercredi dernier et le lycée Faidherbe depuis dimanche soir.

    Un autre établissement lillois, la lycée Pasteur, avait été occupé en fin de semaine, mais les lycéens ont évacué les lieux d'eux-mêmes durant le week-end.

    Dans un communiqué publié lundi, Martine Aubry, maire socialiste de Lille, déplore que "les seules réponses que le ministre de l'Education nationale apporte aux revendications des lycéens et du monde de l'éducation en général soit le recours à la force".

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  • quid du téléchargement ?

    DES NOUVELLES DU TELECHARGEMENT

    SARKOZY LE DEMAGO

    SARKOZY ET LA DEMAGOGIE

    SARKOZY EST A L'ORIGINE DE LA CONVENTION SIGNEE A L'OLYMPIA AVEC LES FAI ET LES MAISONS DE DISQUES


    C'est suite à cette convention à grand renfort de publicitéque les actions judiciaires se sont multipliéesdont celle de l'enseignant !

    Maintenant , Monsieur voulant être populaire auprés des jeunes se déclare opposé à la Pénalisation !

    BONNE NOUVELLE , QU'IL PASSE AUX ACTES !
    Sarkozy opposé à la "pénalisation du téléchargement" illégal




    Nicolas Sarkozy, président de l'UMP, a affirmé jeudi soir sur France 2 qu'il était opposé à la pénalisation du téléchargement illégal sur internet, même si les jeunes doivent comprendre, a-t-il dit, "qu'il faut protéger les droits d'auteur".

    "Je ne suis pas pour la pénalisation du téléchargement mais en même temps, il faut que les jeunes comprennent qu'il faut protéger les droits d'auteur, le droit des artistes", a affirmé M. Sarkozy, lors de l'émission "Cent minutes pour convaincre".

    "Si on autorise le téléchargement sans aucune limite, ça veut dire que le chanteur, l'auteur, l'acteur, le metteur en scène, le cinéaste, personne ne les rémunère ?", s'est-il inquiété.

    "Moi, je crois à l'exception culturelle française. Je pense qu'il faut protéger aussi les droits d'auteur, on doit pouvoir trouver une solution. D'ailleurs, on s'en approche aujourd'hui", a-t-il ajouté.

    L'industrie du disque, qui attribue la crise des ventes qu'elle connaît actuellement au téléchargement pirate, a multiplié en 2004 les poursuites contre les utilisateurs de plates-formes d'échange P2P (d'ordinateur à ordinateur), en France comme à l'étranger.

    Le 2 février, un enseignant a été condamné à 10.200 euros de dommages-intérêts à Pontoise (Val-d'Oise) pour le téléchargement illégal de musique sur internet.


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  • UNE FUMISTERIE DE RAFFARIN

    NE LAISSONS PAS FAIRE RAFFARIN

    TOUS EN GREVE LE LUNDI DE PENTECOTE !



    Pentecôte: Thibault propose de faire grève




    Bernard Thibault a suggéré de faire de la Pentecôte une journée de revendication, avec des débrayages


    Dans une interview au Journal du dimanche, le secrétaire général de la CGT propose de faire pression sur les entreprises pour que le jour de la Pentecôte ne soit pas travaillé.

    "A défaut, nous pourrions faire du 16 mai une journée de revendication sur les salaires et le temps de travail, avec des arrêts de travail", a-t-il ajouté.

    Bernard Thibault souligne que son idée de faire du lundi de Pentecôte une journée d'action syndicale est soutenue par la CFTC, FO et le syndicat enseignant FSU. "Je n'ai pas encore entendu la CFDT à ce sujet", ajoute-t-il.

    Quant au numéro deux du PS Laurent Fabius, il a estimé dimanche que faire travailler les gens le lundi de Pentecôte était "malvenu", car c'est "faire travailler les gens sans les payer".

    Le gouvernement Raffarin a décidé de faire travailler les salariés le lundi de Pentecôte, au bénéfice des personnes âgées, après la canicule meurtrière d'août 2003.

    La mesure est très critiquée à gauche, mais aussi à droite en raison de l'importance des activités économiques générées par le week-end de la Pentecôte.




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  • La Télévision ignore l'importance du mouvement des Lycéens !

     

    Nous sommes dans un régime où les médias télévisés sont à la solde du pouvoir !

    Pourquoi les dernières actions des lycéens contre la politique de Fillon sont ignorées par les journaux télévisés !

    Le scandale de l'intervention des CRS contre notre Jeunesse qui elle a quelque chose dans les tripes n'est pas dénoncé !

     

    SOUTENONS LES LYCEENS

     

    Lycéens et enseignants manifestent dans toute la France

     

      

     

    PARIS  - Plusieurs dizaines de milliers de lycéens, d'enseignants et de parents d'élèves ont manifesté samedi à Paris et dans une dizaine de grandes villes pour demander l'abrogation de la loi Fillon et des moyens supplémentaires pour l'éducation.

     

    Les manifestants étaient 60.000 selon le syndicat enseignant FSU, 20.000 selon des chiffres cumulés des préfectures. La principale manifestation a rassemblé 20.000 personnes à Paris selon les organisateurs, deux fois moins selon la préfecture.

     

    A Paris, aux cris de "l'éducation n'est pas une marchandise, l'école n'est pas une entreprise", les principaux responsables des syndicats d'enseignants FSU, SNUIPP, UNSA, CFDT, menaient le cortège avec les dirigeants des syndicats lycéens FIDL et UNL, derrière une banderole déclarant : "non à la casse du service public de l'éducation nationale".

     

    Des centaines de policiers avaient été déployés sur le parcours du défilé, sur les grands boulevards, afin d'empêcher des incidents comme ceux qui étaient survenus en marge d'une précédente manifestation le 8 mars.

     

    Les principaux autres cortèges ont défilé à Lyon, Marseille, Toulouse, tandis que des foules moins importantes se rassemblaient à Nancy, Rennes, Ajaccio et Lille notamment.

     

    A Marseille, ils étaient 8.000 à 10.000 selon les organisateurs, 2.000 selon la police. A Toulouse, 10.000 personnes selon les organisateurs, 7.000 selon la police ont défilé depuis le Capitole derrière une banderole proclamant "non à la casse du service public d'éducation".

     

    A Lille en revanche, ils n'étaient qu'environ 150 dont un tiers de lycéens. Lille est l'académie la plus touchée par les réductions d'effectifs dans l'Education (940 postes d'enseignants et de conseillers pédagogiques supprimés à la rentrée prochaine). Deux lycées lillois, Montebello et Pasteur, restaient occupés samedi.

     

    LE "NON" A LA CONSTITUTION S'INVITE

     

    Le ministère de l'Education n'a pas souhaité commenter cette nouvelle journée d'action. Le cabinet du ministre Fillon a indiqué à Reuters qu'il s'en tenait à la position de fermeté affiché depuis le vote de la loi Fillon à l'Assemblée nationale.

     

    Adopté définitivement le 24 mars, le texte instaure un "socle commun de connaissances et de compétences" que les élèves devront maîtriser à l'issue de leur scolarité et il réforme la formation des enseignants ainsi que les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM).

     

    Après une première mobilisation des lycéens, un volet réformant le baccalauréat a été retiré du texte.

     

    Les manifestations de samedi ont été marquées par l'irruption d'un mot d'ordre plus général de "défense du service public de l'éducation" dépassant la stricte revendication de l'abrogation de la loi Fillon.

     

    "Nous voulons une autre politique de l'éducation, avec la rétablissement des moyens qui ont été supprimés", a dit Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU.

     

    Le Parti communiste, le Mouvement des jeunesses socialistes et les partis trotskistes Ligue communiste révolutionnaire et Lutte ouvrière ont aussi fait leur apparition dans les cortèges, avec des slogans rapprochant la lutte des lycéens au "non" à la Constitution européenne au référendum du 29 mai prochain.

     

    Coralie Caron, secrétaire général de la FIDL (Fédération indépendante, démocratique et lycéenne) a déclaré à Reuters que les actions dans les lycées se poursuivraient la semaine prochaine sous diverses formes dans toute la France.

     

    "Le vote de la loi (Fillon) n'a fait qu'inciter les lycéens à se mobiliser davantage", a-t-elle dit.

     

    Vendredi, les rectorats de Paris, Aix-en Provence, Toulouse et plusieurs dizaines de lycées ont été occupés. Coralie Caraon a assuré que le mouvement d'occupation, qui commence à être critiqué par les dirigeants d'établissements et des organisations de parents d'élèves, allait se poursuivre.

     

      

     


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