• LE NON TOUJOURS EN TETE

    encore un effort j-9 pour le non!

    Référendum: nouveau sondage donnant le non gagnant à 53%

    ENCORE EN EFFORT ! IL RESTE 9 JOURS POUR CONVAINCRE !


    Le non au Traité constitutionnel européen progresse légèrement à 53% (+1), le oui obtenant 47% (-1) dans les intentions de vote, selon un sondage BVA pour l'Express à paraître lundi.

    Dix-neuf pour cent des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intention de vote.

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    69% des Français pensent que si le non l'emporte, il y aura une renégociation du projet de Constitution européenne alors que 22% pensent que "l'idée de Constitution sera abandonnée pour longtemps". 9% ne répondent pas.

    62% des personnes n'ont "pas trouvé convaincant" le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin lors de son intervention mardi soir sur France 2 à propos du référendum du 29 mai.

    Cette enquête a été réalisée par téléphone le 18 mai auprès d'un échantillon de 963 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). La vague précédente avait été réalisée entre les 27 et le 30 avril.

     



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  • SOLIDAIRES SOYONS SOLIDAIRES AVEC LES LYCEENS

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    LA DETERMINATION DES LYCEENS MERITE NOTRE ADMIRATION ET NOTRE SOLIDARITE

    Nouvel appel de la coordination lycéenne à manifester lundi à Paris

    La coordination lycéenne a lancé samedi un nouvel appel à manifester contre la loi Fillon, lundi place de la République à Paris, après le défilé qui a réuni jeudi trois cents jeunes entre les places de République et de la Nation.

    Dans un communiqué, la coordination nationale constate que "le mouvement s'essouffle" en raison, selon elle, de la "répression, du passage en force de la loi malgré sa censure partielle par le Conseil constitutionnel, des pressions diverses et de l'approche du bac".

    La coordination nationale assure avoir "besoin du soutien de tous les salariés" et appelle donc "tous les salariés, étudiants et lycéens" à manifester lundi à 14h00, place de la République avant une réunion en "assemblée générale interprofessionnelle".

    Par ailleurs, le mouvement annonce des rassemblements lors de chacun des procès qui auront lieu, devant les tribunaux, notamment les 25 et 31 mai au tribunal de grande instance de Paris et le 1er juin à Pontoise (Val d'Oise), dénonçant les procès de lycéens, "procès d'un mouvement qui ose remettre en cause la politique d'un gouvernement illégitime".


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  • Raffarin démocrate ?

    Non ! c'était une erreur !

    UN COMITE D'EVALUATION SUR MESURE POUR LE LUNDI DE PENTECOTE

    On savait Raffarin entêté mais on croyait qu'il donnait l'impression d'être un démocrate ! point du tout c'est une erreur !

    Le Comité d'évaluation pour le Lundi de Pentecote qu'il vient d'installer en est la preuve !

    Les treize membres qui le composent sont tous de sa majorité , du patronat et des fonctionnaires experts du gouvernement !
    C'est la premiere fois que l'opposition et les syndicats sont exlus ! C'est un pied de nez à ces chers Français de la France d'en bas qu'il méprise et qu'il faut faire travailler gratuitement pour ce cher Baron du Medef!

    Le comité

    Le comité de suivi et d'évaluation est composé de treize membres, dont sept parlementaires - tous de droite (6 UMP, 1 UDF) - et six hauts fonctionnaires et personnalités qualifiées.

    Les parlementaires réunissent, outre M. Leonetti, les députés Jacques Pélissard (Jura), René Bouin (Maine-et-Loire), les sénateurs Alain Gournac (Yvelines), Gérard Dériot (Allier) ainsi que Jean-Louis Christ (Haut-Rhin) et Yves Lachaud (UDF, Gard).

    Deux personnalités proches du patronat, Michel Didier, directeur de l'institut de conjoncture Rexecode, et Georges Drouin, président du Groupement des Professions de Services, font également partie du comité.

    Ce dernier comprend par ailleurs le directeur du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc), Robert Rochefort, le préfet Marc Cabane et les recteurs d'académies Christian Nique (Montpellier) et Jean-Baptiste Carpentier (Caen).


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  • L'Europe de Sarkozy , l'europe du oui c'est ça !

    - Le retour à la semaine de 40 heures
    -Une baisse des impots pour les riches
    -L'augmentation du patrimoine pour ceux qui paient l'impôt sur les Grandes Fortunes

    Hier soir en meeting Sarkozy a donné le programme de l'Europe du Oui qu'il souhaite et dévoilé son ambition pour 2007 !

    Nicolas Sarkozy est-il déjà en campagne pour 2007? A l'occasion du premier meeting parisien de l'UMP pour le référendum, le président de l'UMP a estimé jeudi soir qu'un «oui» le 29 mai serait «la plus formidable occasion de réveiller la France».
    «L'Europe est une chance formidable, celle d'un nouveau cycle de prospérité, d'un nouvel élan pour notre pays», a lancé le président de l'UMP devant 4.000 jeunes réunis au Palais des Sports.
    Devant des étudiants en T-shirt agitant des affiches jaunes «oui à l'Europe» et «oui pour la France», M. Sarkozy a insisté sur sa «grande ambition au service de l'Europe et de la France». «L'Europe que nous voulons induit le changement dans notre pays. On ne peut pas vouloir quelque chose pour l'Europe et faire l'inverse en France», a-t-il martelé.
    Résumant son projet, il a marqué sa volonté de faire de la France «un pays de propriétaires» .«Cessons de culpabiliser le patrimoine, la propriété, la réussite, la promotion sociale», a-t-il lancé, dénonçant une nouvelle fois les 35 heures, les «impôts et les charges plus lourds que partout ailleurs en Europe», et réclamant «l'autonomie» pour les universités.
    «Nous voulons le meilleur pour l'avenir de nos enfants, pour le futur de la France et pour la nouvelle Europe», a-t-il conclu. «Voilà pourquoi nous voterons oui le 29 mai.»
    Avant le discours de Nicolas Sarkozy, Simone Veil, ovationnée par les jeunes, a longuement témoigné de son «engagement pour l'Europe». «Je n'imaginais pas pouvoir assister au débat qui se déroule en France depuis quelques semaines sans dire mon oui à l'Europe», a lancé l'ancienne présidente du Parlement européen, qui s'est mise en congé du Conseil constitutionnel le temps de la campagne référendaire. Une démarche critiquée par les partisans du «non», mais aussi certains tenants du «oui» comme le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré.
    Le président de l'UMP, qui veut «rajeunir» la vie politique, avait imaginé un véritable show télévisé pour ce premier meeting parisien de l'UMP pour le référendum. A l'invitation de Michel Field, animateur de la soirée, une dizaine de personnalités de la société civile, dont plusieurs proches de Jacques Chirac comme son ancienne conseillère Christine Albanel, le Pr David Khayat ou le PDG de Sanofi-Aventis Jean-François Dehecq, ont expliqué leur «oui» au début du meeting. Cécilia Sarkozy, équipée d'un casque avec micro incorporé, réglait le show en coulisses.
    «Quand j'ai un but à marquer, je préfère être dans l'équipe qu'être au vestiaire», a lancé Arnaud Lagardère, PDG du groupe du même nom, vantant l'Airbus A380, qui n'aurait «jamais» existé «sans une Europe intégrée». Un message de Lech Walesa a été diffusé.
    Nicolas Sarkozy, accusé au début de la campagne par les chiraquiens de ne pas assez pas mouiller sa chemise pour le «oui», avait aussi voulu donner une image d'unité.
    Montant sur scène au début du meeting, le président de l'UMP a fait ovationner le nom de Jean-Pierre Raffarin, en convalescence après l'ablation samedi dernier de sa véhicule biliaire et représenté par son épouse Anne-Marie. «Dis-lui Anne-Marie: ici ils l'ont applaudi et ils l'ont soutenu», a lancé Nicolas Sarkozy à Mme Raffarin. Plus tard, François Fillon a réclamé et obtenu une deuxième ovation pour le Premier ministre.
    Nicolas Sarkozy a aussi remercié la vingtaine de ministres présents, dont Michèle Alliot-Marie (Défense), François Fillon (Education) et Dominique Perben (Justice) ainsi que les présidents des groupes parlementaires UMP à l'Assemblée nationale et au Sénat, les chiraquiens Bernard Accoyer et Josselin de Rohan. Philippe Douste-Blazy (Santé) est arrivé avec une heure de retard. Dominique de Villepin (Intérieur) et le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré brillaient en revanche par leur absence.







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  • Pour Danielle c'est Non !

    Danielle Mitterrand, veuve de l'ex-président François Mitterrand, a confirmé mercredi sur France 2 qu'elle voterait non lors du référendum du 29 mai sur la Constitution européenne, car selon elle ce texte "institutionnalise une autre dictature", celle du marché.
    Mme Mitterrand s'"élève contre l'affirmation que ceux qui votent non sont anti-européens", un argument utilisé par l'ex-Premier ministre Lionel Jospin et le président Jacques Chirac.
    Selon la présidente de l'association France-Libertés, "cette Europe de paix, on la veut telle qu'on l'a rêvée". Or, a-t-elle dit, "ce traité constitutionnel institutionnalise une autre dictature que nous ne voulons pas : le système qui fait de l'homme un sujet économique (...), qui génère la plus grande des misères, le chômage, la pollution de l'eau, de l'air".
    La veuve de François Mitterrand a affirmé qu'elle entendait "tout à fait les arguments de ceux qui votent oui", comme son fils Gilbert. "Je pense que c'est une stratégie aujourd'hui dépassée, qu'on ne peut pas faire du petit pas et qu'il faut savoir dire non", a-t-elle ajouté.
    Interrogé sur la position qu'aurait prise l'ancien président, Danielle Mitterrand a jugé "imprudent de vouloir faire parler quelqu'un qui n'est pas là". "C'est un peu présomptueux", a-t-elle dit.

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