• DANGER AVEC DE VILLEPIN ET SARKOZY

    Les ordonnances de Sarkozy de Villepin sont contraires à la signature de la France.

    La France a signé un traité international qui condamne tout licenciement non motivé et non justifié !
    Lors de la campagne référendaire on nous a répété que le traité constitutionnel n'autoriserait plus les licenciements non justifiés !

    Et Pourtant, Sarkozy et de Villepin mettent en place une ordonnance qui autorisera pendant une période de deux ans tout licenciement sans avoir à en donner les raisons et sans justifications.
    Le Medef de Florence Parisot s'engouffre dans la brèche et demande la généralisation à toutes les entreprises.

    C'est cela la politique sociale de Sarkozy et de Villepin !


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  • C'EST LA GUERRE CONTRE LE CODE DU TRAVAIL POUR LAURENCE PARISOT

    medium_a.jpgPOUR LAURENCE PARISOT , LE CODE DU TRAVAIL EMPECHE DE TRAVAILLER AVEC INTELLIGENCE ! C'EST DONC LA GUERRE .......

    Ainsi s'exprime LAURENCE PARISOT


    "Le Code du travail est «kafkaïen, absurde et pas adapté», selon Laurence Parisot
    -- La nouvelle présidente du MEDEF, Laurence Parisot, s'est à nouveau déclarée mardi soir favorable à une «refonte» du Code du travail qu'elle a jugé «kafkaïen», «absurde» et «pas adapté au monde d'aujourd'hui».
    «Il faut savoir soulever des tabous», a affirmé Laurence Parisot sur TF1, en référence à des propos antérieurs estimant que «la liberté de penser s'arrête là où commence le Code du travail».
    «Il ne s'agit pas de la liberté formelle que bien sûr notre République nous garantit», a-t-elle souligné, «mais la liberté pratique, la liberté d'exercer intelligemment sa réflexion face en l'occurrence à un droit du travail qui est kafkaïen, qui est par bien des côtés absurde, et qui empêche tout le monde dans l'entreprise de travailler intelligemment»."


    C'est donc le programme de Laurence Parisot qui aura comme équipier SARKOZY, DE VILLEPIN, BRETON, COPE
    et les autres !

    Les syndicats se doivent d'être vigilants et ne pas entrer dans le piege d'un speudo dialogue comme celui de la refondation sociale !
    Esperons que les militants de la CFDT seront encadrer leur secrétaire général qui rève de se distinguer dans un réformisme d'une autre époque !

     

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  • /07/2005

    ATTENTION A LAURENCE PARISOT !

    medium_parisot_fr.jpg
    medium_seilliere.jpg
    LAURENCE PARISOT AU MEDEF

    CE N'EST PAS UN CADEAU !


    La présidente de l'IFOP sera très certainement désignée aujourd'hui à la tête du MEDEF !

    Ce n'est pas contrairement à ce que disent les médias une grande évolution ! Mais au contraire une régression !
    Son programme ? Donner une plus grande liberté aux chefs d'Entreprise et réformer voire supprimer le code du travail !

    Voila, avec Parisot, Sarkozy et de Villepin les salariés de ce pays doivent être très inquiets.
    Il devient Urgent pour la gauche de se réunir autour d'un programme cohérent et de préparer l'échéance de 2007 !

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  • Nicolas Sarkozy pète-t-il les plombs ? Ses sorties concernant la justice trop laxiste, son discours ultra musclé promettant de nettoyer la cité des 4000 de la Courneuve, ont choqué. Au point que certains ont cru aux premiers faux pas du ministre de l'Intérieur. Non, Nicolas Sarkozy ne pète pas les plombs. Il pratique l'exercice du dérapage, très calculé, d'un futur candidat en 2007, obnubilé par le souci de ratisser large, très large. Et force est de constater qu'il semble que cette méthode lui réussisse. Selon un sondage IFOP publié jeudi dans Paris Match, Nicolas Sarkozy est la personnalité politique préférée des Français dans la perspective de l'élection présidentielle de 2007. Le président de l'UMP arrive en tête avec 39 % des réponses favorables, loin devant François Bayrou, président de l'UDF (21 %), Dominique de Villepin, premier ministre (13 %), Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (8 %), et Jacques Chirac (8 %). Chez les sympathisants de l'UMP, la cote de Sarkozy atteint 69 %, contre 12 % pour Villepin et 7 % pour Chirac. La même enquête montre que si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu aujourd'hui, Nicolas Sarkozy l'emporterait largement quelle que soit la personnalité de gauche à laquelle il serait confronté. Dans le quotidien le Monde, Pierre Giacometti, directeur des études politiques d'IPSOS, analyse cette popularité. Selon lui, « le langage de Sarkozy choque moins les Français d'en bas que les milieux de la représentation ». Stéphane Rozès, de l'institut CSA, précise encore : « Quand on interroge l'opinion, la restauration de l'ordre prime toujours sur le souci de justice. » Le discours populiste et d'ultra droite du ministre de l'Intérieur semble donc passer dans la population. « Sarkozy continue de mordre sur l'électorat de gauche », assurent même les analystes. Indéniablement, et en moins d'un mois, le ministre de l'Intérieur a réussi le tour de force de replacer le thème de l'insécurité au centre de l'actualité, et par conséquent d'occuper le coeur de l'action politique. Sans oublier qu'en « pipolisant » son couple et sa famille, il a trouvé une nouvelle manière d'occuper les médias, au point que cette « question » faisait, jeudi, la une d'un quotidien national. Des déboires conjugaux soigneusement utilisés puisque Nicolas Sarkozy, un brin cynique, estime que l'étalage public de ses difficultés avec son épouse Cécilia aurait « créé de l'affect ». « Jusqu'à présent, on parlait de mon ambition personnelle. Maintenant, on parle de mon humanité », explique-t-il, selon le quotidien le Monde.

    Nicolas Sarkozy s'exprime tantôt en ministre de l'Intérieur, tantôt en président de l'UMP qui fait des propositions, commente, critique. Une confusion des genres qui lui permet de dire ce qu'il veut sur n'importe quel sujet et à n'importe quel moment. Ainsi, le jour où Dominique de Villepin donne sa première conférence de presse comme premier ministre, Nicolas Sarkozy accorde une longue interview au Figaro, titrée : « Mes idées avancent ». Une pleine page dans laquelle il assume ses « dérapages », avouant tenter de la sorte de « gagner la bataille de la communication et celle de l'action ». « Nettoyer » les cités ? « Qu'y a-t-il de choquant ? (...) Comment la société politique française peut-elle se dire scandalisée par le mot "nettoyer" et ne pas l'être plus que cela par la mort d'un enfant de onze ans ? » Un couplet populiste pour faire croire que ceux qui sont choqués par ses propos sont du côté des coupables quand lui serait de celui des victimes. Une rhétorique pour flatter les plus bas instincts, pour s'assurer de la sympathie de l'électorat FN. Même si cyniquement Nicolas Sarkozy s'interroge : « Pourquoi chercherais-je l'électorat du Front national ? Je l'ai déjà ! (...) S'il y a un électorat à récupérer, c'est surtout l'électorat populaire abandonné par la gauche. » D'où le sécuritaire, pour séduire l'électorat populaire et faire oublier l'autre volet de son projet de société : la casse de tous les systèmes de protection, sous prétexte de « s'attaquer aux rigidités du marché du travail 

     


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